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Uroczystości odsłonięcia tabliczki nagrobnej porucznika Mikołaja Kirkilewicza na cmentarzu w Lommel - sobota 2 marca 2019

Uroczystości odsłonięcia tabliczki nagrobnej porucznika Mikołaja Kirkilewicza na cmentarzu w Lommel - sobota 2 marca 2019.

Ku chwale polskim lotnikom – Belgia 2019

2 marca 1945 roku Lancaster PB 854 BH-I dowodzony przez porucznika Mikołaja Kirkilewicza został zestrzelony. W 74. rocznicę śmierci porucznika Mikołaja Kirkilewicza dzięki przeprowadzonym ekshumacjom na cmentarzu w Lommel w grudniu 2017 roku przez specjalistów z Pomorskiego Uniwersytetu Medycznego w Szczecinie, wspartych badaniami historycznymi przeprowadzonymi przez pracowników Ministerstwa Kultury i Dziedzictwa Narodowego tożsamość polskiego pilota została potwierdzona.

Na Polskim Cmentarzu Wojennym w Lommel spoczywa 257 polskich żołnierzy, służących głównie w 1. Dywizji Pancernej generała Stanisława Maczka, jak również w Polskich Siłach Powietrznych czy w Ruchu Oporu. Jest to największa polska wojenna nekropolia na terenie Belgii.


Co? Uroczystości odsłonięcia tabliczki nagrobnej porucznika Mikołaja Kirkilewicza na cmentarzu w Lommel

Gdzie? Polski Cmentarz Wojenny w Lommel, Luikersteenweg 10, 3920 Lommel, Belgia / Belgie [MAPKA tutaj]

Kiedy? Sobota 2 marca 2019 o godz. 12.00

 

W przededniu uroczystości odsłonięcia tabliczki nagrobnej porucznika Mikołaja Kirkilewicza odbędzie się wykład "Genetyka w służbie historii" dr. Andrzeja Ossowskiego, Kierownika Zakładu Genetyki Sądowej Pomorskiego Uniwersytetu Medycznego w Szczecinie.
Piątek - 1 marca 2019 r. o godz. 18.30
w salonach Ambasady RP, Avenue des Gaulois 29, 1040 Bruksela, Belgia / Belgie
Rejestracja na wykład do 27.02.2019 r. na email: Ten adres pocztowy jest chroniony przed spamowaniem. Aby go zobaczyć, konieczne jest włączenie w przeglądarce obsługi JavaScript.



[fra] Cimetière Militaire Polonais à Lommel – la dépouille d’un aviateur polonais de la 300e Division identifiée

Le 2 décembre 2017, des exhumations ont eu lieu au cimetière de Lommel. L’objectif de ces opérations était de retrouver la dépouille de Mikołaj Kirkilewicz, pilote de la 300e Division qui périt au combat le 2 mars 1945. Les travaux d’exhumation ont été menés par des spécialistes de l’Université Médicale de Poméranie à Szczecin sous la direction du dr Andrzej Ossowski, Directeur du Centre de Génétique Légale.

Cimetière Militaire Polonais à Lommel – la dépouille d’un aviateur polonais de la 300e Division identifiée

Le 2 décembre 2017, des exhumations ont eu lieu au cimetière de Lommel. L’objectif de ces opérations était de retrouver la dépouille de Mikołaj Kirkilewicz, pilote de la 300e Division qui périt au combat le 2 mars 1945. Les travaux d’exhumation ont été menés par des spécialistes de l’Université Médicale de Poméranie à Szczecin sous la direction du dr Andrzej Ossowski, Directeur du Centre de Génétique Légale.

La tombe du pilote polonais inconnu se trouvant au Cimetière Militaire Polonais de Lommel en Belgique contient la dépouille du lieutenant Mikołaj Kirkilewicz de la 300e Division de Bombardement Polonaise des Forces Aériennes de Grande-Bretagne. C’est ce qu’indiquent les recherches génétiques comparatives réalisées par les spécialistes de l’Université Médicale de Poméranie à Szczecin, soutenues par les recherches historiques menée par les employés du Ministère de la Culture et du Patrimoine National polonais.

Le 2 décembre 2017, les spécialistes de l’université de Szczecin, en collaboration avec le Ministère de la Culture et du Patrimoine National, ont exhumé la dépouille du pilote polonais inconnu de la tombe n°11, rangée b, secteur 3 du Cimetière Militaire de Lommel, afin d’examiner le squelette et les artéfacts, et de faire des prélèvements indispensables pour les tests comparatifs d’ADN. Les travaux ont été réalisés en présence d’un employé du Ministère de la Culture et du Patrimoine National ainsi que de l’Ambassade de Pologne à Bruxelles. Les tests ADN comparatifs ont été effectués à la l’Institut de Médecine Légale de l’Université Médicale de Poméranie à Szczecin où l’ADN des familles des trois pilotes qui ont péri le 2 mars 1945 avaient été récoltés au préalable. Les recherches historiques menées sur la base des documents issus des archives de la Commission des Sépultures Militaires du Commonwealth à Maidenhead ont été menées par les employés du Département du Patrimoine Culturel à l’Étranger et des Pertes de Guerre au sein du Ministère de la Culture et du Patrimoine National polonais.

Le 2 mars 1945, le Lancaster PB 854 BH-I piloté par le lieutenant Mikołaj Kirkilewicz, a pris part à l’assaut de cibles industrielles à Cologne. Il a été abattu par l’artillerie antiaérienne dans la région de la cible. Tout l’équipage a péri.

L’identification du pilote des Forces Aériennes Polonaises en Grande Bretagne grâce aux tests ADN et aux recherches historiques est le résultat de la collaboration entre le Ministère de la Culture et du Patrimoine National et l’Université Médicales de Poméranie à Szczecin, avec le soutien formel en Belgique de l’Ambassade de Pologne à Bruxelles.

La cérémonie militaire au Cimetière Polonais de Lommel organisée à l’occasion de l’apparition du nom et du prénom du pilote sur la tombe est planifiée pour le 2 mars 2019, exactement 74 ans après la mort du lieutenant Mikołaj Kirkilewicz.

 

Informations du Ministère de la Culture et du Patrimoine National :

Le lieutenant pilote Mikołaj Kirkilewicz (1917-1945)

Mikołaj Kirkilewicz est né le 3.12.1917 près de Brasław. Fils d’Antoni Kirkilewicz et de Anna née Bogdanowicz. Après ses études secondaires, il s’engagea en tant que volontaire dans l’armée. Du 21.09.1937 au 22.12.1937, il effectua une formation militaire de base dans la 1ère Division d’Infanterie des Légions du maréchal Piłsudski à Vilnius. L’année suivante, il fut affecté à l’École des Aspirants de l’Aviation à Dęblin. Il débuta une formation dans un groupe d’observateurs qu’il acheva en août 1939 en obtenant une promotion au rang d’officier.

Après l’attaque de la Pologne par l’Allemagne, Mikołaj Kirkilewicz resta dans l’Escadron de l’École des Observateurs et essaya d’évacuer avec l’escadron en direction de la frontière roumaine. Emprisonné par les troupes allemandes le 20.09.1939, il s’ évada ensuite et rejoignit sa ville natale de Brasław alors occupée par les Soviétiques. Il s’y prépara à rejoindre la Grande Bretagne via la Lettonie et la Suède. Arrêté par le NKVD le 05.11.1939, il fut condamné à 5 ans dans un camp de travail. Après avoir passé quelques mois dans les prisons soviétiques, il finit par être déporté au goulag dans la région de Oukhta en Sibérie du Nord.

Grace à l’amnistie déclarée en juillet 1941 en vertu des accords Sikorski-Maïski, il fut libéré du goulag le 27.08.1941. Il travailla pendant trois mois comme ouvrier dans un kolkhoze. Fin 1941, il arriva à Bouzoulouk où se trouvait le centre de formation des unités de l’Armée Polonaise à l’Est sous le commandement du gén. Władysław Anders. Il s’engagea alors comme volontaire dans les forces aériennes. Au printemps 1942, il évacua avec toute l’Armée au Proche Orient et fut ensuite transporté par mer durant l’été jusqu’en Grande bretagne. Après avoir passé un examen médical, il obtint le numéro P-1940 des Forces Aériennes Polonaises et le grade britannique de Pilot Officer (P/O). Il effectua ensuite les étapes de formation requises par la Force Aérienne Royale (Royal Air Force), à commencer par le cycle de formation initiale à terre au ACTC (Air Crew Training Centre – pour les candidats au personnel de vol) à Hucknall (13.07.1942 – 21.11.1942) puis au 13 ITW (Initial Training Wing – Aile de Formation Initiale) à Torquay (22.11.1942 – 21.02.1943). Il y étudia les bases de la langue anglaise et du règlement britannique (King’s Regulations), mais aussi les sciences exactes telles que les mathématiques et la physique. Il se familiarisa avec l’armement utilisé par la RAF et l’équipement de télécommunication. Il perfectionna également ce qu’on appelle les bonnes pratiques de vol, autrement dit ses capacités à réagir à différentes situations liées à l’utilisation des avions et la réalisation de vols. Il réussit ses examens finaux et obtint sa qualification aux services opérationnels en tant que pilote. Pendant sa formation, il fut promu lieutenant le 01.09.1942, et le 02.01.1943, il obtint le grade britannique de Flying Officer (F/O).

Il entama son entraînement à proprement parler à Hucknall, lorsque le 03.03.1943 il commença l’apprentissage des techniques de pilotage à la 25 ETS (Elementary Flying Training School – École de Pilotage Élémentaire) qu’il termina le 19.05.1943. Le lendemain, il fut affecté à la 16 SFTS (Service Flying Training School - École de Pilotage de Service) à Newton. À l’issue de l’examen final de pilotage d’avions bimoteurs en septembre 1943, il obtint l’insigne tant désirée de pilote. À partir du 01.10.1943, il perfectionna sa technique de pilotage dans la 8e AACU (Anti-Aircraft Cooperation Unit -Unité de Coopération Antiaérienne) à Cardiff, puis dans la 287e Division RAF à Croydon (à partir du 01.12.1943). Après avoir attendu plus de six mois l’étape finale de sa formation, il rejoignit le 30.06.1944 la 18e OTU (Operational Training Unit – Unité d’Entraînement Opérationnel) à Finningley.

Son entraînement à l’OTU comprenait au départ le perfectionnement des techniques de pilotage de bombardiers bimoteurs de type Vickers Wellington, à savoir le décollage et l’atterrissage dans diverses conditions atmosphériques, des vols avec un seul moteur ou bien sans visibilité du sol (selon les engins). La formation passait alors progressivement à la pratique de différentes techniques de bombardement avec des bombes d’entraînement. L’étape suivante comprenait des vols sur un trajet préétabli. Les équipages perfectionnaient alors leurs capacités de navigation sur différents terrains dans des conditions atmosphériques changeantes, avec un fort accent porté sur les vols de nuit. L’expérience acquise ainsi serait utile plus tard dans les unités opérationnelles, dans les conditions de combat.

Mikołaj Kirkilewicz termina sa formation le 05.10.1944. Il se retrouva ensuite avec son équipage à Blyton dans la 1662 HCU (Heavy Conversion Unit – Unité de Formation sur Avion Lourds) où il se familiarisa avec les arcanes de l’utilisation de bombardiers quadrimoteurs de type Avro lancaster. Cette étape de sa formation s’acheva le 12.12.1944 lorsque tout son équipage reçut son affectation à la 300e Division de Bombardement « de la Terre de Mazovie » stationnant à Faldingworth. Peu après son arrivée dans la division, Kirkilewicz obtint le 19.12.1944 une promotion provisoire au grade britannique de Flight Lieutenant (F/Lt).

Il débuta ses vols en participant à l’opération de bombardement des positions de l’armée allemande à Royan dans le sud de la France la nuit du 04/05.01.1945. Il ne vola ensuite qu’au-dessus de centres industriels vigoureusement défendus par l’ennemi sur le territoire du IIIe Reich : Munich, Mannheim, les raffineries de Mersebourg et Police (Pölitz), les centres ferroviaires de Neuss et Zeitz. Mais le vol n°8 s’est avéré le dernier pour son équipage. Dans la matinée du 02.03.1945, lors du bombardement de sites industriels à Cologne, son Lancaster PB854 BH-I fut abattu par l’artillerie antiaérienne dans la région de sa cible. Tout l’équipage périt.

Le lieutenant pilote Mikołaj Kirkilewicz a été décoré à titre posthume pour ses faits de guerre de la « Polowa Odznaka Pilota » (Médaille du Pilote de Combat) n°1766 et deux fois du « Medal Lotniczy » (Médaille d’Aviation).

Texte : Grzegorz Korcz


 
[pol] Polski Cmentarz Wojenny w Lommel

„Za naszą i waszą wolność” - głosi napis w językach: polskim, francuskim i flamandzkim, wyryty na ścianie pamięci, zwieńczonej ponad 6-metrowym krzyżem. Znajduje się ona na największym polskim cmentarzu w Belgii. Ci, którzy tam leżą, o to właśnie walczyli.

Prosta żelazna brama. Po obu stronach biegnącej za nią alei, równe rzędy białych mogił. Dokładnie 255 krzyży oraz 2 tablice z wyrytą Gwiazdą Dawida. Tak wygląda Polski Cmentarz Wojenny na peryferiach niewielkiej miejscowości Lommel w Limburgii. Powstał w 1946 roku z inicjatywy władz brytyjskich, dla polskich żołnierzy, poległych podczas wyzwalania Belgii spod niemieckiej okupacji. Przenoszono tu szczątki ekshumowane w różnych częściach kraju. Nie wszystkie jednak. Rada miasta Tielt zaprotestowała i nie oddała „bohaterów, którzy stali się relikwią miasta”. Pozostali na miejscowym cmentarzu. Mimo to nazwę Tielt umieszczono wśród nazw innych miejscowości na znajdującej się w centralnej części cmentarza ścianie pamięci. Takie miejsca, jak: Ieper, Gent, Stekene, Roesllare, Merksplas i wiele innych - znaczą szlak bojowy żołnierzy, którzy spoczęli na cmentarzu. Obok widnieją emblematy ich macierzystych jednostek - 1 Dywizji Pancernej generała Stanisława Maczka oraz Dywizjonów 302, 308 i 317 Polskich Sił Powietrznych w Wielkiej Brytanii. Najmłodsi żołnierze mieli po 18 lat. Ich ofiarę symbolizuje marmurowa rzeźba z 1959 roku, przedstawiająca kobietę z wieńcem laurowym - autorstwa Mariana Wnuka.

Co roku we wrześnium w Lommel odbywają się uroczystości ku czci tych, którzy brali udział w wyzwalaniu Francji, Belgi i Holandii, marząc o wolnej Polsce. Jak powiedział ich dowódca generał Maczek: „Żołnierz polski bije się za wolność wielu narodów, ale umiera tylko dla Polski”.

Projekt został zrealizowany dzięki współpracy z Instytutem Polskim w Brukseli



[fra] Cimetière militaire polonais à Lommel

« Pour notre liberté et la vôtre » – proclame l’écriteau gravé sur le mémorial surmonté d’une croix de plus de six mètres, en polonais, français et flamand. Le mémorial se trouve dans le plus grand cimetière polonais en Belgique. Les militaires y reposant se battaient dans ce but précis.

Un simple portail métallique. L’allée partant de chaque côté de ce dernier, est formée de rangs égaux de tombes blanches. Avec exactement 255 croix et 2 tombes comportant l’étoile de David, le cimetière militaire polonais se situant sur le périphérique de la ville de Lommel dans la province du Limbourg. Créé en 1946, pour les soldats polonais qui ont péris lors de la libération de la Belgique, à l’initiative des autorités britanniques. Les dépouilles exhumées de diverses parties du pays y ont été déplacées. Hélas, toutes ne s’y trouvent pas. Le conseil municipal de Tielt a refusé de rendre les corps « des héros devenus reliques de la ville » les conservant ainsi dans le cimetière local. Toutefois, le nom de Tielt a été gravé sur le mémorial, se trouvant dans la partie centrale du cimetière, parmi les noms d’autres localités. Des localités telles que : Ypres, Gand, Stekene, Roulers, Merksplas et bien d’autres encore – marquent le chemin de combats des soldats reposant dans le cimetière. À côté des emblèmes de leurs divisions d'origine — 1re division blindée du Gén. Stanislaw Maczek et des escadrilles 302, 308 et 317 de la force aérienne du Royaume-Uni. Les soldats les plus jeunes avaient respectivement 18 ans. Leur sacrifice est symbolisé par une statue en marbre datant de 1959, représentant une femme portant une couronne en laurier dont l’auteur est Marian Wnuk.

Chaque année au mois de septembre, des cérémonies en l’honneur des participants à la libération de la France, de la Belgique et des Pays-Bas, qui rêvaient d’une Pologne libre, ont lieu à Lommel. Comme l’a dit leur commandant Gén. Maczek : « Le soldat polonais se bat pour la liberté de nombreuses nations, mais périt uniquement pour sa patrie. »

Project realized with the support of the Polish Institute in Brussels
 

[ned] Poolse Militaire Begraafplaats in Lommel

“Voor onze en jullie vrijheid” - luidt het opschrift in het Pools, Frans en Vlaams, gegrift in de herdenkingsmuur, voltooid met een meer dan 6 meter hoog kruis. Deze bevindt zich op de grootste Poolse begraafplaats in België. Degenen die daar liggen, hebben voor die vrijheid gevochten.

Een simpele ijzeren poort met daarachter een pad met twee rijen witte graven aan weerszijde. Exact 255 kruizen en twee grafstenen in de vorm van een davidster. Zo ziet de Poolse Militaire Begraafplaats net buiten het kleine plaatsje Lommel in Limburg eruit. Deze is in 1946 ontstaan op initiatief van de Britse autoriteiten, voor Poolse soldaten die zijn gesneuveld tijdens de bevrijding van België. Hier zijn de stoffelijke overschotten van Poolse soldaten naartoe overgebracht uit verschillende hoeken van het land. Maar niet alle. De gemeenteraad van Tielt protesteerde en weigerde "hun helden af te staan, die een relikwie van de stad waren geworden". Zij bleven op de plaatselijke begraafplaats. Toch is de naam Tielt opgenomen in de lijst van vele plaatsen op de herdenkingsmuur op het centrale gedeelte van de begraafplaats. Andere steden zijn onder meer Ieper, Gent, Stekene, Roeselare, Merksplas en vele andere. Zij getuigen van de krijgsroute van soldaten die nu rusten in hun graven. Daarnaast staan de emblemen van hun eenheden, de 1e Pantserdivisie van generaal Stanislaw Maczek en de eskaders 302, 308 en 317 van de Poolse Luchtmacht in Groot-Brittannië. De jongste soldaten waren pas 18 jaar oud. Hun offer wordt gesymboliseerd door een marmeren beeld uit 1959 van een vrouw met lauwerkrans, gemaakt door Marian Wnuk.

Iedere september vinden er in Lommel plechtigheden plaats ter nagedachtenis aan degenen die deelnamen aan de bevrijding van Frankrijk, België en Nederland en droomden van een vrij Polen. Zoals hun leider generaal Maczek zei: “Een Poolse soldaat vecht voor de vrijheid van vele landen maar sterft alleen voor Polen.”

Project realized with the support of the Polish Institute in Brussels
 

24.02.2019 Niedziela.BE // źródło: Ambasada RP w Brukseli https://bruksela.msz.gov.pl // Instytut Polski w Brukseli http://www.culturepolonaise.eu // Fundacja Liberation Route Europe https://liberationroute.com

 

 

Last modified onponiedziałek, 04 marzec 2019 18:36

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